Nous avons dans le langage l'habitude de parler de lacs, mais il s'agit en fait de retenues collinaires, après tout où se situe la différence, dans la superficie evidemment!!!

Ceci dit, nos plans d'eau (pour éviter toute contestation), sont accueillants et non dénués de belles surprises que nous vous laissons découvrir...

L'AAPPMA aimerait pourtant, compte-tenu de la rareté des plans d'eau au sein de notre secteur d'influence et en notre beau pays, que les pêcheurs de tout âge en aient conscience, et que nos milieux aquatiques (roseraies, ripysilve*...) comme la réglementation de la pêche et ses pratiques soient respectés. 

 

* ripysilve : un nom peu connu, mais qui definit un espace entre terre et eau très sensible :

Formations végétales qui se développent sur les bords des cours d'eau ou des plans d'eau situés dans la zone frontière entre l'eau et la terre (écotones).
"Elles sont constituées de peuplements particuliers en raison de la présence d'eau sur des périodes plus ou moins longues : saules, aulnes, frênes en bordure, érables et ormes en hauteur, chênes pédonculés et charmes sur le haut des berges.

Les ripisylves contribuent non seulement à la bonne qualité biologique du milieu en diversifiant les habitats mais permettent aussi de filtrer une partie des éléments polluants. En effet la végétation ainsi que la faune qu’elles abritent, concourent à bloquer puis « digérer » une partie de la pollution qui transite. Pour le maintien ou l’amélioration

de l’état des cours d’eau, la ripisylve doit être maintenue et développée puisqu’elle joue, de façon totalement gratuite, le même rôle qu’une grande station d’épuration extensive." (source Agence de l'Eau ).